Dix personnes, dont un élu de Culles-les-Roches, comparaissent à Paris pour cyberharcèlement envers la Première dame, victime d’une intox transphobe.
Ils sont dix (huit hommes et deux femmes) à comparaître devant le tribunal correctionnel de Paris. Dix personnes suspectées de cyberharcèlement envers Brigitte Macron. Pour rappel, la Première dame a été la cible d'une infox selon laquelle elle serait en réalité une femme transgenre. Parmi les accusés, un élu de la commune de Culles-les-Roches (Saône-et Loire) rapporte le JSL. Jean-Luc Montégut est le deuxième adjoint de la petite commune de 200 habitants.
Pour rappel, l'audience a débuté cet après-midi aux alentours de 13 h 30. A noter l'absence de Brigitte Macron et de trois suspects. Si les dix accusés sont reconnus coupables d'harcèlement moral, ils encourent jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende.
