Succédant à son père, député quatre fois d'affilée, il se défend de toute "dynastie". "Il y avait douze candidats cette année, les électeurs étaient libres". Lui qui se dit appartenir à "l'aile sociale et humaniste de la droite", veut surtout s'opposer, au niveau local, à l'entrée de Villefranche et du Beaujolais dans le Grand Lyon.