Gérard Collomb, le premier à croire en Macron

Sa trajectoire a croisé celle de la « fusée » Macron voilà près de deux ans et, depuis, Gérard Collomb n'est toujours pas redescendu sur terre. On peut le comprendre. C'est peu dire que le jeune hussard de la politique française a redonné des ailes au sénateur et maire de Lyon, un « shoot » de jouvence, pourrait-on dire, qui se voit à l'œil nu, tant l'homme apparaît souriant et détendu à force de marcher, dans tous les coins de France, pour Macron. À un point tel que l'on se demande même si la campagne présidentielle n'agit pas comme une machine à remonter le temps sur lui.

Lyon, capitale de « la macronie »

Le leader social-réformiste commençait à tourner en rond dans le (petit) périmètre qui lui était idéologiquement dévolu au PS quand surgit dans son champ ce frère d'armes iconoclaste. C'était le 27 août 2015, et Emmanuel Macron était la « guest star » de l'université d'été de Léognan, où se réunissait l'aile droite du PS – pendant que le reste du parti se rassemblait pour son traditionnel raout à La Rochelle. « Il nous a fait un discours extraordinaire sur la façon dont le monde était en train de changer », se souvient encore Gérard Collomb.

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