Le président sortant de la Métropole de Lyon s’apprête à entrer dans une campagne sans certitudes entre l’impopularité de Grégory Doucet et les difficultés de la gauche hors de Lyon et Villeurbanne.
Le président de la Métropole de Lyon a longtemps fait traîner le suspense sur ses intentions pour 2026, répétant qu’il voulait rester concentré sur son mandat jusqu’à la fin. Le climat politique lyonnais de ces dernières semaines et l’entrée en scène de Jean-Michel Aulas l’ont amené à reconsidérer son rétroplanning. Le candidat Bernard devrait démarrer sa campagne avec quelques semaines d’avance et avant 2026. Le sondage de l’institut Verian, plus cuisant pour Grégory Doucet que pour lui, a fini de le convaincre de l’urgence à se lancer officiellement. Le sort des deux édiles écologistes est intimement lié. Pour conserver son fauteuil de président de la Métropole, Bruno Bernard est dépendant des résultats lyonnais.
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Une mission encore plus difficile pour Bruno Bernard