La candidate de gauche aux élections municipales de Lyon a égratigné ce mercredi matin Jean-Michel Aulas qui pourrait aussi se lancer dans la bataille dans les prochains jours.
Ils partagent des critiques contre la politique des écologistes mais les points communs s’arrêtent là. Nathalie Perrin-Gilbert, candidate déclarée, a taclé, ce mercredi, Jean-Michel Aulas qui laisse toujours planer le suspense sur ses intentions pour 2026 : “la différence avec Jean-Michel Aulas, c’est que je ne me suis jamais enrichie sur le compte de la ville de Lyon. Mon autre différence, c’est que je m’intéresse à l’ensemble des lyonnais et pas pour des intérêts financiers. Je n’ai pas posé sur des photos avec Bruno Bernard quand les travaux de l’arena (à Décines-Charpieu) se faisait en disant que c’est génial. Je ne me réveille pas un an avant les élections après avoir profité du système. Je ne me cache pas derrière mon petit doigt en me faisant désirer”.
L’ancien adjointe à la Culture en début de mandat définit la possible candidature de l’ancien président de l’OL comme le “double symptôme” d’un vide. “De la droite qui se cherche désespérément un candidature face à Grégory Doucet. Du vide intellectuel et politique de Renaissance qui est bien à droite comme Jean-Michel Aulas qui n’est pas un candidat de la société civile mais un candidat de la droite et du monde de la finance. Il ira plus loin dans la privatisation de la ville et défendra les intérêts du milieu qu’il représente. Il n’est pas le candidat du bien commun et l’intérêt général. Il est aussi le symptôme de notre échec d’avoir entraîner les lyonnais vers un autre modèle. Ils sont tellement désemparés qu’ils se cherchent un guide”, poursuit-elle.
Quand on lit le niveau des émoluments et des retraites des élus.es on prend peur ! NPG n'a pas laissé que de bon souvneir, notamment à la mairie du 1°, mais pas autant qu'Hidalgo à la mairie de Paris. La dégaite en cours !