Violences sexuelles : le procès d’un fantôme au Théâtre du Point-du-Jour

Le théâtre du Point-du-Jour propose un spectacle participatif autour du consentement, de la culture du viol, de la censure et de la liberté d’expression. 

En 2017, un poème d’André Chénier, L’Oaristys, fut mis au programme de l’agrégation de lettres modernes. Un texte obscur dans lequel certains virent la glorification d’une agression sexuelle. Il y eut de vives réactions des féministes et une controverse médiatique. 

Au théâtre du Point-du-Jour, inspirées par cette histoire, les comédiennes et metteuses en scène Bérénice Hamidi et Gaëlle Marti présentent un spectacle participatif qui prendra la forme d’un procès.

La scène deviendra une agora animée par des juristes spécialistes des violences sexuelles, des expertes littéraires, l’actrice Adèle Gascuel et le codirecteur du théâtre du Point-du-Jour, Éric Massé. 

Un dispositif expérimental permettra de mener une réflexion autour du consentement, de la culture du viol, de la censure et de la liberté d’expression. Le fantôme d’André Chénier reviendra même d’entre les morts plaider sa cause. Des jurés issus du public rendront leur verdict après avoir délibéré…

Notre Procès – Les 10 et 11 avril au théâtre du Point-du-Jour

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