S'il avait quelque peu consenti, sur ses dernières productions, à quelques "facilités" pop qui ne rendaient son propos que plus efficient, le Chicagoan semble revenu à ses premières amours tortueuses sur le récent Noble Beast. Un joli bestiaire qui sied comme un gant à cette année de célébration de l'œuvre du bon Charles Darwin. Et montre que les bienfaits de l'évolution se nichent, comme le diable, dans les détails de la création.
Andrew Bird. Le 30 avril à l'Epicerie Moderne, Place René Lescot, Feyzin. 
04 72 89 98 70. www.andrewbird.net
                        
                    
            
        
					
						
						
						
            
					
					
					
					
					
    
					
					
					
					
					
 Une mission encore plus difficile pour Bruno Bernard