Cristiano Ronaldo, sur le départ de l'Arabie Saoudite, ne manque pas de prétendant, malgré ses 40 ans. John Textor, président et propriétaire de l'OL, aimerait attirer le Portugais dans un autre de ses clubs, Botafogo, et en faire un actionnaire d'Eagle Football Group.
Et si Cristiano Ronaldo venait à la rescousse financière de l'OL cet été ? Ce scénario improbable est en tout cas envisagé par John Textor, propriétaire américain de l'OL. Le président lyonnais, qui possède également le club de Botafogo, au Brésil, aimerait attirer la star portugaise de 40 ans à Rio.
Cette dernière, qui a annoncé il y a quelques jours dans un message énigmatique sur ses réseaux sociaux, vouloir tourner la page de son aventure en Arabie Saoudite, aimerait beaucoup disputer le mondial des clubs cet été. Cette nouvelle compétition imaginée par la FIFA, se déroulera du 15 juin au 13 juillet aux Etats-Unis et réunira 32 équipes du monde entier, parmi lesquelles, Botafogo.
Une double proposition pour CR7
Et selon plusieurs médias brésilien, John Textor voudrait proposer à CR7 de rejoindre le Brésil pour un contrat court, le temps de la compétition, et également de devenir actionnaire d'Eagle Football Group, la structure qui chapeaute l'ensemble des clubs de la Galaxie Eagle.
D'autres clubs, flairant le bon coup, se sont également positionnés pour attirer cet été la légende portugaise, quintuple ballon d'or. Le Wydad Athletic Club de Casablanca s'est notamment montré intéressé, tout comme les Rayados de Monterrey. Deux clubs qui participeront à la compétition internationale des clubs cet été.
En proie à de grosses difficultés financières, l'Olympique Lyonnais qui a reçu l'autorisation de participer à la Ligue Europa l'année prochaine, est encore en attente des décisions de la DNCG, gendarme financier du football français. Le club lyonnais reste sous la menace d'une rétrogradation cet été et l'arrivée d'un actionnaire de la trempe de Cristiano Ronaldo pourrait permettre au club de souffler financièrement.
Un scénario idéal mais qui ressemble quand même à s'y méprendre à une chimère.