Malgré un budget en baisse, la programmation laisse entrevoir des œuvres qui devraient rester dans les mémoires, notamment celle, chauvine, de la place des Terreaux.
“C’est une programmation entre tradition et modernité”, assure Grégory Doucet, maire de Lyon, en présentant la 26e édition de la Fête des lumières. Pendant quatre jours, les visiteurs, deux millions chaque année, pourront voir du mapping classique sur la façade de Saint-Jean ou la colline de Fourvière mais aussi des innovations avec le premier spectacle de drones de l’histoire de la Fête des lumières. La programmation est aussi dopée à la “lyonnaiserie”. Sur la place des Terreaux, Lundi, c’est ravioli donne l’eau à la bouche. Le mapping promet de rendre hommage à la cuisine des mères lyonnaises et à la gastronomie à la sauce pop culture. Les boîtes de raviolis prennent des airs warholiens. Sur la place Louis-Pradel, c’est aux générations de skateurs qui se succèdent depuis quarante ans sur le spot de l’“HDV” – pour hôtel de ville – que la Fête des lumières rend hommage.
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Fête des Lumières : nos dix coups de cœur