Si chaque formation aspire à obtenir le plus de conseillers municipaux et le leadership sur l’exécution du programme, personne, à gauche, n’imagine pouvoir emprunter en ordre dispersé le chemin vers la victoire.
En 2020, l’union avait été un prérequis à l’élection de Grégory Doucet. Cinq ans plus tard, elle l’est d’autant plus. Cluster17, à la demande de Jean-Michel Aulas, a testé plusieurs scénarios en février dernier. Au premier tour, chacun tente sa chance : Grégory Doucet (22 %) serait devancé par Jean-Michel Aulas (24 %) même dans l’hypothèse d’une candidature parallèle de Pierre Oliver (10 %), un scénario devenu plus improbable depuis la défaite de Laurent Wauquiez pour la présidence des LR. Une union de la gauche, sans Nathalie Perrin-Gilbert, dès le premier tour donnerait, en revanche, de l’oxygène à Grégory Doucet (38 %) face à une alliance de la droite derrière Jean-Michel Aulas (34 %).
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