Lyon : une semaine après le pic de pollution, quelle est la qualité de l'air ce mardi ?

Une semaine après le pic de pollution en Auvergne-Rhône-Alpes et à Lyon, la qualité de l'air se maintient en dessous des seuils réglementaires, mais la franche amélioration attendue pourrait ne pas avoir lieu.

Tous les seuils de vigilance ont été dépassés la semaine dernière. Tous les voyants étaient au rouge contraignant le préfet du Rhône Pascal Mailhos a renforcer la circulation différenciée à l'intérieur du périmètre ZFE (Lyon, Villeurbanne, Caluire) avec l'interdiction notamment des véhicules Crit'Air 3. En tout, environ 30 % des véhicules du parc automobile lyonnais étaient interdits à la circulation, à l'intérieur de la ZFE, jeudi 27 janvier.

Lire aussi : Gros pic de pollution à Lyon : vigilance rouge, environ 30 % des véhicules interdits à Lyon ce jeudi, et bientôt plus ? Le point complet

Ce mardi 1er février, les conditions légèrement dégradées de la veille se poursuivent. Cependant, "elles garantissent le maintien de concentrations en dessous des seuils réglementaires, mais la franche amélioration attendue pourrait ne pas avoir lieu", explique le laboratoire Atmo-Auvergne-Rhône-Alpes, spécialiste de la qualité de l'air.

À Lyon, la qualité de l'air, indiquée comme dégradée par le laboratoire Atmo, ne devrait pas subir une concentration de particules fines dans les prochains jours. En cause : la hausse des températures et du vent prévue mercredi 2 février. Cependant, dans d'autres grandes villes de la région telles que Grenoble, Annecy et Chambéry, une qualité de l'air mauvaise devrait être enregistrée cette semaine.

Suivez-nous
tiktok
d'heure en heure
d'heure en heure
Faire défiler vers le haut