Le programme et toutes les images de la Fête des Lumières 2018 de Lyon

Le programme complet de la Fête des Lumières 2018 - 8 décembre a été dévoilé. Place des Terreaux, Bellecour, Parc de la Tête d'or, découvrez en images toutes les installations qui seront visibles du 6 au 9 décembre.

Plus participative, peut-être même plus sobre et intimiste, cette Fête des Lumières 2018 poursuit la rupture entamée en 2017. Elle renoue pourtant avec des grands classiques avec les Anooki place Bellecour et une projection sur la grande roue. Le parc de la Tête d'or fait également son grand retour. Aux Terreaux, à cause des travaux, pas de grandes projections, mais une oeuvre qui devrait être une respiration. Nous vous proposons de découvrir l'intégralité du programme en photos.

Cells, aux Célestins, sublimera l'architecture du théâtre de Lyon. Les projections évolueront durant les quatre jours pour offrir un spectacle inédit lors de chaque instant.

Wish Blow, place Antonin-Poncet, d'Helen Eastwood et Laurent Brun (LNLO), une oeuvre interactive. Les passants pourront animer ces boules géantes en soufflant dessus et faire un vœu.

Sur la colline de Fourvière, une projection de 400 mètres avec Reflets de Damien Fontaine. Épique dans l'idée, sera-t-elle culte ?

La cathédrale est un incontournable de la Fête des Lumières. En 2018, place aux Pigments de lumière de Nuno Maya et Carole Purnelle. Une projection de plusieurs tableaux composés d'images de pigments diffusés dans l'eau ou l'air, avec en toile de fond l'histoire de la rose à Lyon. Sur le papier, il s'agit du projet le plus excitant. Les images ont été générées grâce à des effets spéciaux à l'ancienne, en dur. Ces pigments sur Saint-Jean ont été filmés en atelier.

Oeuvre calme et intimiste place des Terreaux, Pavillon de Sébastien Lefèvre est un filet de lumière dont le cœur battra à l'unisson avec les spectateurs (mise à jour l'oeuvre est annulée).

Le parc de la Tête d'or fait son grand retour avec Présages de Marie-Jeanne Gauthé et Géraud Périole. Des echassières géantes ont pris place dans le ciel, tandis qu'un magicien sort de l'eau pour animer un parc endormi.

Autre œuvre interactive, Keys of light de Mr Beam, un piano dans une serre, dans le jardin du Musée des Beaux-Arts. Le 29 novembre, un casting sera ouvert pour ceux qui voudront venir jouer du piano dans ce cadre hors du commun. Durant la fête des Lumières, chaque note illuminera les lieux.

Il n'y aura aucune oeuvre majeure au Théâtre Antique de Fourvière. Heureusement, l'Odéon, à côté, sera illuminé avec Yu Da Ba Jiao, là encore une oeuvre interactive avec 4 000 fleurs de lotus lumineuses imaginées par MinghsiLighting.

Les Anooki reviennent et s'installent cette fois-ci sur la place Bellecour avec Une petite place pour de grands rêves. Ils mesurent désormais 20 mètres et prennent la statue de Louis XVI pour un soldat de plomb. Moetu Battle et David Passegand s'amusent eux aussi avec cette scène hors norme et les Anooki s'inviteront également sur la grande roue.

La Fête des Lumières façon aurores boréales avec You and the night de David Udovtsch sur la fontaine des Jacobins.

Bleu, blanc, rouge, proposée juste avant que la France gagne la coupe du monde de Football, Tricolore est un hymne en laser imaginé par Ralf Lottig dans la cour de l'Hôtel de ville.

Gare Saint-PaulQuantum de Bernard Duguay et Anastsia Isachsen, un grand tableau entre art et science pour explorer le monde invisible à l'œil nu.

Rue Grôlée, Tisseur de vœux de Jaffa Lam, un arbre à vœux. Les spectateurs pourront accrocher leur vœu dans une autre œuvre interactive (sans doute le mot le plus répété dans ce programme).

Deux œuvres qui se répondent rue de la République et place du même nom. Les amours en cage de Christophe Martine et ses arbres qui semblent s'envoler, et Big Tree de Jacques Rival, un arbre lumineux qui évoluera pour finir sapin de noël.

Frontier, cour des moirages par Encor Studio, une oeuvre mêlant à la fois eau, lumière, et ondes, mais aussi le public qui pourra réveiller l'eau.

Abyss place Louis Pradel par Nicolas Paolozzi offrant une oeuvre interactive, inspirée de Jules Verne et des créatures des grands fonds marins.

Sur la façade du Temple du change, Marion Chauvin et Adrien Bertrand imaginent des Cascades sans eau. Le secret, ce sont en réalité 12 000 bouteilles recyclées.

Capitale de la soie, Lumières en soi(e) est à la fois un hommage au passé et une vision d'avenir avec ses 300 lanternes fonctionnant à énergie solaire. Des fils luminescents les relient entre elles, pour, là encore une oeuvre interactive, où le public pourra éclairer les lanternes grâce à des lampes mises à disposition.

A la croisée des rues Carnot et Grôlée, ces 6 tubes fluorescents de 5 mètres de long semblent voler dans le ciel. Avec Tensegrity Jean-Pierre David et Christian Thellier jouent avec nos sens et défient la gravité.

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