Une étude révèle quelles mutuelles optiques préfèrent les Français

CONTENU SPONSORISE. Une étude parue pour la Journée mondiale pour la vue révèle les mutuelles optiques préférées des Français, et ce choix n’est pas guidé que par leurs besoins

 

Mutuelle optique : les chiffres de 2018

Vendredi 12 octobre se déroulait la Journée mondiale pour la vue, et à cette occasion, de nombreuses initiatives ont vu le jour sur l’ensemble du territoire français. Si certains cabinets ophtalmologiques ont proposé aux particuliers de faire tester leur vue pour prendre conscience d’éventuels troubles de la vision, d’autres ont décidé de mettre à jour les statistiques des troubles de la vue en France.

L’étude publiée par le site lecomparateurassurance.com s’intéresse particulièrement aux mutuelles optiques choisies par les Français. À la lumière de cette étude, certaines tendances dans le choix des mutuelles optiques se dégagent. Pour compléter le remboursement que vous offre votre assurance, votre entreprise est dans l’obligation depuis le 1er janvier 2016 de proposer un contrat santé collectif à leurs salariés. Découvrez son fonctionnement précis sur cet article.

Mutuelle optique : un choix dépendant de l’âge et de la CSP

Pour commencer, découvrez le système de classification exposé par l’étude :

  • Une étoile, ou niveau 1, désigne la partie de la population qui n’a pas besoin d’assurance optique. Autrement dit, ceux qui ne souffrent pas de troubles de la vision ;
  • Deux ou trois étoiles, c’est-à-dire les niveaux 2 et 3, font bénéficier les patients de remboursements partiels ou importants pour des verres de correction simple ;
  • Quatre ou cinq étoiles correspondent aux niveaux 4 et 5, qui ont opté pour une mutuelle délivrant un remboursement partiel ou important sur des verres complexes ou progressifs.

Sur ce premier graphique, qui se concentre uniquement sur les 3 plus hauts niveaux de mutuelle, une interprétation logique se forme immédiatement : plus les individus vieillissent, et plus nombreux ils sont à opter pour des mutuelles fortes. Ce chiffre pourrait s’expliquer avec la dégradation de la vue qui survient en vieillissant, pourtant les plus de 65 ans ne seraient que 62,3% à profiter d’une garantie forte, contre 72,3% des 50-65 ans. Même sans la présence des garanties de niveau 2, l’interprétation de ces données nécessite l’utilisation d’un autre graphique pour apporter une réponse complète.

La différence de sexe à l’origine d’une différence de mutuelle choisie ?

[Image : Répartition de la demande des garanties optiques selon le sexe]

Si les femmes seraient effectivement majoritaires dans le choix des mutuelles de niveau 5, et les hommes dans le choix de mutuelles de niveau 2, aucune donnée ne dépasse les 3% de différence. Le pourcentage de chance que le sexe ait une influence sur la disparité constatée précédemment est donc quasiment nul.

Une autre hypothèse : la différence de pouvoir d’achat

[Image : répartition de la demande des garanties optiques selon la CSP]

C’est ce graphique qui met en lumière l’hypothèse énoncée plus tôt : plutôt que l’âge des particuliers, le pouvoir d’achat semble être le principal facteur influant sur le niveau de protection choisi. En témoignent les catégories socioprofessionnelles qui optent toutes de plus en plus pour des mutuelles de niveau 5, au fur et à mesure de l’évolution du graphique, avant que les retraités ne fassent chuter la courbe.

En comparant le pouvoir d’achat des CSP tel qu’il est décrit dans cette étude publiée par le CSA, et ce graphique, une solution claire apparaît : les Français choisissent leur mutuelle selon leur niveau de solvabilité.

La différence entre contrat famille et contrat individuel

[Image : répartition des demandes de garanties renforcées en optique]

Le dernier graphique de l’étude semble prouver la théorie précédemment avancée. Celui-ci explique que 71,2% de la population optant pour un contrat famille choisirait une garantie de niveau 3 à 5, contre 56,4% de ceux qui lui préfèreraient le contrat individuel. Le contrat famille coûtant moins cher par personne que la garantie individuelle, tout dans cette étude semble porter à croire que c’est principalement un problème de pouvoir d’achat.

Maintenant, il reste à se demander ce qui cause cette tendance en 2018 : les Français préfèrent-ils investir davantage pour être bien assurés ? Ou bien s’agit-il d’une question de prix trop élevé pour une mutuelle efficace ?

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