Cris assure le show dans l’avion des Lyonnais

Un journaliste de Lyon Capitale était dans l’avion qui a ramené les joueurs à Lyon. Les Olympiens emmenés par un Cris déchaîné ne se sont pas fait priés pour savourer la qualification pour les demi-finales de la Ligue des Champions.

De notre envoyé spécial à Bordeaux

Après avoir répondu aux nombreux médias dans la zone mixte du stade Chaban-Delmas, les joueurs de l’OL ont embarqué sur les coups de 1h30 du matin dans un avion affrété par le club rhodanien. Forcément heureux, la délégation lyonnaise n’a pas manqué de fêter cette qualification historique. En bon capitaine, Cris s’amuse à l’aide de son iPhone a diffuser de la musique via le micro de l’avion. Ambiance assurée. Puis le Brésilien bien encouragés par ses coéquipiers incitent Patrick Collot à danser. L’entraîneur adjoint de l’OL s’exécute sous les visages hilares du groupe olympien.

« Allez lâche-toi ! »

Michel Bastos, jusque-là plutôt observateur, prend le relais. « Et les gars, il ne faut pas oublier le coach ! ». Claude Puel essaye tant bien que mal de faire comme s’il n’avait pas entendu son joueur. Cris s’empresse d’aller à l’encontre de son entraîneur. « Allez, lâche-toi », lui lance-t-il d’un air malicieux. Rien n’y fait. Claude Puel est certes souriant et détendu mais il préfère laisser ses joueurs assurer le show.

« Madame Toulalan, laissez-le faire »

Après quelques minutes de répit, Cris repart de plus belle belle et invite Jérémy Toulalan a chanter. Devant le refus de son coéquipier, le Brésilien dégaine : « Ah pour chanter dans le vestiaire, tu n’es pas le dernier et ce soir devant tout le monde tu ne veux pas ». Jérémy Toulalan ne se dégonfle pas et réplique : « Je ne peux pas, il y a ma femme à côté de moi ». Eclats de rires assurés. Michel Bastos emboîte le pas : « S’il-vous plait Madame Toulalan, laissez-le faire… ». Finalement, la Toul’ accepte d’entonner une chanson paillarde sous les vivas de ses partenaires.

Pour conclure, cette belle joie collective, Rémy Vercoutre se saisit du microphone des hôtesses de l’avion et scande les noms des joueurs qui n’ont pas effectué le déplacement en terre girondine. Avec un mémorable : «Govou, Govou, Govou » repris par tous les joueurs. La fin du voyage se terminera plus au calme. A l’arrivée à Lyon, il est 3 heures du matin. Une trentaine de supporters lyonnais sont présents et félicitent joueurs et membres du staff technique. Une belle soirée que les Gones ne sont pas prêts d’oublier.

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