Une avocate au barreau de Lyon, née d’un don de sperme anonyme, a demandé jeudi 31 mai à la justice de pouvoir obtenir des informations sur ses origines, une démarche présentée par son avocat comme une première en France pour une naissance par insémination artificielle avec donneur (IAD).
1 commentaire
Les commentaires sont fermés
Il n'y a déjà pas beaucoup de donneurs, si ce genre de démarche s'amplifie il n'y en aura plus du tout.