A la recherche du Made in France à Lyon

En 2012, le couperet tombait sur Lejaby : le spécialiste français de la lingerie depuis 1884 était placé en liquidation judiciaire. Un an plus tard, la légende renaît, sous le nom de Maison Lejaby. Alors que le “made in France” est sur toutes les lèvres et dispose même d’un ministre porte-étendard, la relocalisation de Lejaby ou de Rossignol redonne espoir à plus d’un salarié. Qui sont ces Lyonnais qui se battent chaque jour pour conserver leur production dans la région ? Lyon Capitale-le mensuel vous propose un voyage à la recherche du “Made in Lyon”.

Depuis la campagne électorale et la couverture du Parisien avec Arnaud Montebourg en marinière, le Made in France est devenu tendance. Nous avons donc eu envie de faire à notre échelle le panorama du “made in Lyon”. En évitant les pièges, car siège social ne rime pas forcément avec chaîne de production locale.

Entre réussites exemplaires, espoirs et dernière chance, Lyon Capitale dresse le portrait de ceux qui résistent à la tentation asiatique, quitte à quelques sacrifices. Notamment :

• Renault Trucks : un renouvellement de gamme plein d’espoir

• Bosch : le pari risqué du solaire

• Marc Rozier (textile) : quand le refus de délocaliser paie

• Anne Thomas (bijoux) : le sacrifice d’une vie

• L’Atelier : des lunettes “fait main” personnalisables

• Kokeshi : le succès planétaire d’une Lyonnaise

• Mon Petit Polo Français : quand les usines se font rares.

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Textile, accessoires, maison… Le dossier de Lyon Capitale-le mensuel vous propose aussi une sélection de marques garanties locales. Et un décryptage sur les ambiguïtés du “made in France”.

À lire dans Lyon Capitale n°719, en vente en kiosques jusqu’au 21 février, et dans notre boutique en ligne.

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