La droite dénonce les “petites combines” de l’alliance à gauche

Sitôt l’alliance du PS, du Rassemblement et des communistes officialisée, les porte-parole de Laurent Wauquiez (LR) ont dénoncé “des petites combines pour garder le pouvoir”.

L'encre de l'accord signé entre Jean-Jack Queyranne, Jean-Charles Kohlhaas et Cécile Cukierman était à peine sèche que les porte-parole de Laurent Wauquiez ont raillé "une gauche d'accord sur rien".

"Nous prenons donc acte qu’après s’être écharpés ces six dernières années au sein de l’exécutif régional, sur des sujets aussi majeurs que le Lyon-Turin, le projet de Center Parc de Roybon, le nucléaire ou encore le soutien à la filière microélectronique ; après s’être déchirés et parfois invectivés durant la campagne électorale, socialistes, écologistes, communistes et membres de l’extrême gauche voudraient nous faire croire qu’ils sont unis et rassemblés. La vérité est que la seule raison qui les a conduits à réaliser cette "fusion technique", c’est leur volonté de se partager le pouvoir et des postes alors même qu’ils ne sont d’accord sur rien, comme en témoigne leur refus de signer un véritable accord politique et programmatique, ou de participer à un exécutif commun", développent Stéphanie Pernod-Beaudon et Nicolas Daragon.

Dès l'annonce des résultats dimanche soir, Laurent Wauquiez casait dans chacune de ces interventions une sortie contre la future fusion des listes : "Je ne fais pas de politique avec les petites combines entre les partis qui négocient à la hâte entre le dimanche soir et le lundi pour se partager des postes."

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